Antoine Garrido chante Brel

Antoine Garrido a interprété avec justesse et émotion le répertoire de ce monstre sacré de la Chanson Française. Sa voix chaleureuse et puissante, ses expressions passionnées ont laissé le public sous une émotion admirative. De plus, une communion et une parfaire harmonie règnent entre le chanteur et ses musiciens de génie.

Michel Sulik (04/08/2019)


 

Midi libre

Le dauphine

Antoine Garrido, accompagné d’un trio de musiciens chevronnés et enthousiastes a interprété Brel avec la même fougue que le grand Brel de l’époque.

Le Dauphiné Libéré (23/07/2019)


 

Ces textes inoubliables, encore dans toutes les mémoires, Antoine Garrido, les rend avec passion, sans vouloir faire du Brel dans sa gestuelle ou sa voix, mais avec sa propre interprétation menée tambour battant !

Nice matin (13/04/2019)


 

Nice matin

L independant

Antoine Garrido, au mieux de sa forme, porté par un orchestre complice a restitué avec justesse et conviction ces chefs d’oeuvre. Chaque chanson égrenait les sentiments humains dans une oeuvre toujours contemporaine et en interprétant « Jef », « Le plat pays » ou « Amsterdam », on se rendait compte combien ces sujets sont toujours d’actualité.

Danielle LOT (20/10/2018)


 

Servi par l’impeccable accompagnement de ses musiciens, Antoine Garrido a transmis par son interprétation charnelle et inspirée, à la fois la dramaturgie réaliste et l’humour populaire de ce répertoire, et à l’unisson de cet immense artiste, il a su nous en restituer la puissance et l’émotion.

Sylvie Nicola (26/07/2017)


 

La depeche

 

Midi libre

Antoine Garrido, avec humour et émotion, a réussi à évoquer avec beaucoup de talent, la personnalité du Grand Jacques au travers de ses chansons - cultes pour certaines - et le public, venu nombreux a passé une soirée inoubliable face à l’oeuvre de ce chanteur mythique, servie par un chanteur généreux accompagné de musiciens complices.

Midi Libre (04/02/2017)


 

Antoine Garrido, accompagné de Marc Hévéa au piano et de Jean Luc Mirault à la contrebasse, a interprété Brel avec la même fougue et le même enthousiasme que le grand Brel de l'époque.

Geneviève Oeil (23/07/2015)


 

Le dauphine

 

Le dauphine

Pendant prés de deux heures, Antoine Garrido et ses musiciens nous ont plongés dans un bain de poésie en interprétant les grands titres de Brel et pour servir ces textes inoubliables, Antoine Garrido possède trois atouts : sa voix tout d’abord, chaleureuse et puissante, qui n’est pas sans rappeler celles de ses grands maîtres. Son talent d’interprète, ensuite, qui s’exprime avec sensibilité, avec nuance, sans recherche d’imitation ou d’effets faciles mais qui éclate sur des titres tels que « Amsterdam », « Madeleine » ou « La quête ». Enfin, l’une de ses cartes maîtresses qui est à ses côtés la présence et le talent d’excellents musiciens.

Dominique Perrin (16/01/2015)


 

En concert, l’interprète laisse la place à l’artiste et l’homme s’efface derrière le chanteur pour se mettre entièrement au service de la beauté des textes et de l’infinie délicatesse des mots : c’est peut-être cela tout simplement le talent et c’est en qualité d’interprète géniaux que Montand ou Gréco ont bâti leurs formidables carrières, et on aura toujours besoin d’artistes, tel Antoine Garrido, pour enchanter avec des titres comme « Madeleine», « Ces gens là » ou « Amsterdam » sans oublier bien sur les musiciens, couturiers musicaux d’un tour de chant où la simplicité des lignes mélodiques habille d’harmonie le costume poétique des mots.

Alain Cazalis (11/11/2013)


 

 

Midi libre

Nice matin

La poésie était à l’honneur au Théâtre de la Mer de Sainte Maxime où toute la sensibilité de ces textes forts était remarquablement interprétée avec passion et émotion par Antoine Garrido, accompagné de ses musiciens.

Maryse Cote (20/08/2011)


Le récital Brel commence. La voix est belle, originale, habitée et ne cherche pas à imiter le maître. Antoine Garrido place son talent d’interprète aux services des textes et de la musique. Les personnages des chansons de Brel retrouvent de la densité physique, une présence incarnée : Jef, Ces gens là, Madeleine, les marins du port d’Amsterdam, les bourgeois… Garrido excelle aussi à transmettre la force déchirée du Brel de « La Quête » quitochesque à « Amsterdam ».

Guy Caunègre (04/11/2009)


 

Sud ouest

Chorus

Interpréter Brel est devenu une gageure, mais Antoine Garrido a donné le maximum pour une prestation courageuse et très honorable.

Michel Trihoreau – Festival GeorJacLéo (13/10/2006)


 

Rien que ça, rien que ce voyage dans l’univers de Brel serait déjà un bonheur en soi. Mais il y a plus. Car Garrido ne fait pas que chanter Brel, il y ajoute toutes ses tripes à lui. Il n’imite pas, il recrée, et même l’archi célèbre « Ne me quitte pas » prend soudain un tour nouveau, une inflexion originale, un phrasé qui côtoie celui du grand Jacques sans vouloir se confondre avec lui. Magistral.

Laurent Rouquette (18/07/2006)


 

L independant